9 juillet : Projection Nomade à Priziac

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Dans le cadre de la programmation "EXISTE !" du comité des Projections Nomades, nous vous donnons rendez-vous à Priziac, avec une soirée des-paysant·es* organisée par le Village du Bel Air, pour réfléchir sous toutes les coutures de « l’agriculture sur notre territoire ».

* Jeu de mots avec "dépaysante" et "des paysan·nes"

Samedi 09 juillet à Castel Bel Air (Priziac) de 17h à 23h

17h-18h Spectacle de Théâtre : "Observation de la chute du génie porcin"
Synopsis : Nous faisons un plongeon dans l’entreprise Porc Ever. Créée depuis belle lurette par la famille des Boss, elle est aujourd’hui entre les mains d’Ambroise, un homme qui a décidé de mettre les petits plats dans les grands. C’était sans compter l’arrivée d’une épidémie qui va mettre à mal tous les élevages de porcs du monde entier. S’appuyant sur Catherine son assistante, il embarque son stagiaire Lucas Boubrouille dans une aventure prophétique à la recherche d’un antidote. Mais le temps file plus vite que prévu…

18h-19h30 : Temps d’appel à contribution et à réflexion collective : être agriculteur en centre Bretagne, quel horizon souhaitez-vous et comment y arriver ensemble sur le Centre Ouest Bretagne ?
En présence de l’association Racines du Blavet

Temps pour s’abreuver et se restaurer
Buvette et petite restauration sur place

20h30 : Projection des portraits NERZH sur la thématique de l’agriculture et temps de débat

21h : Projection Nomade avec "L’Échappée" de Pierre Boutillier
En présence de l’association Racines du Blavet

Synopsis : C’est en effet après qu’on lui ait diagnostiqué un lymphome que l’agriculteur a décidé de changer ses méthodes. Face caméra, M. Vicart raconte pudiquement la maladie : "Je saignais du nez, je crachais du sang mais je n’y prêtais pas vraiment attention…" Conscient des risques liés à l’utilisation de certains produits phytosanitaires, il explique avoir toujours voulu éloigner ses salariés de ces travaux, pour en garder seul la responsabilité. "Xavier a l’avantage d’avoir été agriculteur conventionnel avant de passer en bio" explique Pierre Boutillier. "Il a aussi un grain de folie, une poésie, qui m’ont séduit. Xavier Vicart est aussi quelqu’un de très occupé sur sa ferme d’environ 200 ha."

Prix Libre